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Gynécologie & Sénologie

Publié le  Lecture 11 mins

Syndrome génito-urinaire de la ménopause après cancer du sein - L’hormonothérapie est-elle (quand même) possible ?

Daniel ROTTEN, Paris

Comment traiter le syndrome génito-urinaire de la ménopause (SGUM) chez les patientes qui ont eu un cancer du sein lorsque celles-ci sont affectées de symptômes invalidants et rebelles aux thérapeutiques non hormonales ? L’usage des traitements hormonaux est de principe banni chez les patientes ayant eu un cancer hormono-dépendant de crainte qu’ils aient un effet promoteur sur d’éventuelles métastases occultes. Comment dès lors interpréter la déclaration à laquelle se réfèrent généralement les recommandaions : « chez les patientes ayant un antécédent de cancer du sein estrogéno-dépendant, l’uilisation des traitements hormonaux sera exceptionnellement envisagée, toujours après discussion entre le gynécologue, l’oncologue et la patiente elle-même ». Quels sont donc les éléments de cette discussion ? Cela signifie-t-il que la prescription est sans danger en cas de cancer dont les récepteurs hormonaux sont négatifs ?

Les symptômes en cause peuvent être en rapport avec une ménopause soit naturelle soit chimio-induite. Ils peuvent être dus ou aggravés par un traitement ani-estrogénique, qu’il s’agisse de SERM ou d’inhibiteurs de l’aromatase. La prévalence élevée des cancers du sein dans la population, le...

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