



Cancer du sein au stade précoce : vers une fin des anthracyclines…

La chimiothérapie adjuvante répond au besoin de traiter la maladie micrométastatique présente au stade précoce, même si non détectable. Ce concept a été démontré par Bonadonna et coll. dans les années 1970(1). Avec plus de deux décennies de suivi, le schéma CMF (cyclophosphamide, méthotrexate, 5-fluoro-uracile) a démontré des augmentations significatives de la survie sans récidive et de la survie globale avec la chimiothérapie CMF par rapport à la chirurgie seule. Ce régime a évolué au fil du temps avec l’apport d'abord de nombreux traitements dont les anthracyclines pour arriver à nos régimes contemporains séquentiels. Cependant, tous les patients n’ont pas besoin d’une chimiothérapie adjuvante pour guérir de leur cancer, comme l’ont démontré les tests génomiques dans les cancers luminaux. L’absence de moyen de détecter de manière sûre ces métastases microscopiques a conduit au surtraitement de nombreuses femmes.
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